samedi 29 mars 2014

1910 Henri MARTIN peintre ou héros du Monopoly ?

Rien n'est faux et surtout pas le fait qu'il soit né à Toulouse. Bouh du c'est vrai de vrai ça
.

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Un paysage qui n'est pas sans m'évoquer cette région qui fut celle de mon enfance.

dimanche 23 mars 2014

1960, une année zéro pour une nouvelle artiste

Styl'tissage ? Pas si sûr. A découvrir.

Pour la rencontrer, il vous suffit de cliquer sur le lien


Jolie visite chez elle.  

http://www.anne-gl.fr

A bientôt

Lania

jeudi 20 mars 2014

15 juin, Sauveur, nouveau gémeau dans mon Panthéon des Gémeau, et un livre édité en 1950

Né à Pibrac, comme Germaine Cousin, non loin de Toulouse. 

Sa courte vie de vingt-deux ans est une merveille de la grâce. Fille d'un pauvre laboureur, percluse de la main droite, scrofuleuse, elle fut, pour comble de malheur, privée de sa mère, à peine sortie du berceau. La petite orpheline devint l'objet de la haine et du mépris d'une belle-mère acariâtre et sans coeur; la douleur, née avec elle, devait être sa compagne jusqu'à la mort. Cette pauvre ignorante fut instruite par Dieu même dans la science de la prière.
Bergère des troupeaux de la famille, elle passait son temps en conversations avec le Ciel; le chapelet était son seul livre; la Sainte Vierge était sa Mère, les Anges ses amis, l'Eucharistie sa vie. Souvent on la vit agenouillée dans la neige, traversant à pied sec le ruisseau voisin sans se mouiller, pour se rendre à l'église, où elle assistait chaque jour au Saint Sacrifice et communiait souvent, pendant que ses brebis paissaient tranquilles autour de sa quenouille plantée en terre. Charitable pour les pauvres, elle leur donnait son pauvre pain noir, ne vivant guère que de l'amour de Dieu; et, un jour, le Ciel renouvela pour elle le miracle des roses* devant les yeux de son impitoyable marâtre.
A sa mort, les Anges et les Vierges célestes chantèrent au-dessus de sa maison. Quarante ans plus tard, on trouva, comme par hasard, mais providentiellement, son corps intact avec un bouquet de fleurs fraîches, sous les dalles de l'église de sa paroisse. Elle est devenue une des grandes Thaumaturges et une des Saintes les plus populaires de la France.
(D'après l'Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.  http://magnificat.qc.ca )

* les contes ne sont pas des plaisanteries, heu, si les contes sont des plaisanteries, heu, les contes ne sont.... ils sont ce que l'on veut qu'ils soient, comme de tout. 

vendredi 7 mars 2014

Née en année Zéro Marianne von Werefkin

Marianne von Werefkin (1860-1938) " L'automne (école) 

Marianne von Werefkin


Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire de la peinture ».
Peintre russe (Tula 1860  – Ascona, Suisse, 1938).
Élève remarquée de Ilia Repine à Saint-Pétersbourg, elle y rencontre Jawlensky en 1886 et devient sa compagne. Ils s'installent en 1896 à Munich. Afin de promouvoir l'art de ce dernier, elle abandonne pour dix ans la peinture. Femme de haute culture au charisme certain, son salon, lieu de rencontre pour une intelligentsia cosmopolite, contribuera au développement de l'expressionnisme allemand. Elle adhère, en 1909, à la fondation de la Nouvelle association des artistes de Munich. Sa théorie de la couleur, reconsidérée dans son rapport à la lumière, influencera Franz Marc. À partir de 1906, ses toiles, en rupture avec l'art russe, attestent d'une influence de l'école de Pont-Aven (Automne [L'École], 1907) et de Munch (la Grand-route, 1907). S'y développe un symbolisme où les thèmes récurrents du chemin et du pont sont autant de lieux de passage du monde visible à l'invisible. Expulsée en tant que ressortissante russe à cause de la guerre, elle s'installe avec Jawlensky, à Ascona, en 1918. Elle poursuit une peinture mélancolique, empreinte de sa soif d'absolu. Elle est essentiellement représentée à la Fondation Marianne-Werefkin (Ascona).